Elles étaient plus de 250 le 14 septembre autour du lac de Bergeonnerie. Les associations, qui souffrent depuis des années d’un manque d’engagement, sont inquiètes. Les élections municipales ont toujours un effet un peu pénible pour les associations qui s’interrogent sur leur avenir, une fébrilité naturelle.
Elles sont pourtant cruciales pour notre collectif. Qui pourrait remplacer celles et ceux qui organisent les milliers de rencontres chaque week-end ? Qui pourrait se battre pour des causes qui semblaient pourtant perdues d’avance ? Les associations sont la vitalité, la vraie de vie de nos sociétés aujourd’hui. Un cœur battant (mais un peu fatigué).
Nos assos doivent être aidées, choyées et logées. Alors que les prévisions budgétaires s’annoncent moroses, leur soutien doit être intangible tout comme leur pluralité… même lorsque que cela fait mal !
C.B.



